Les Marins d’Iroise avec leur nouveau tube : Santiano … Retrouvez les titres Amsterdam, Allons à Messine, Le 31 du Mois d’Aout, My Bonnie Lies Over The Ocean et Jean François de Nantes sur leur dernier album. A noter leur duo avec Nolwenn Leroy avec La fille de recouvrance.

Le clip des marins d’Iroise Santiano :

Santiano, chanson originale d’Hugues Aufray. Pour la petite histoire (source Wikipedia) :

Santiano est un chant de marin adapté en français, d’origine anglaise. C’est le chant de marin le plus connu en France.
La version originale date du XIXe siècle. Elle a été chantée par des marins anglais qui combattaient pour le Mexique lors de la guerre entre le Mexique et le Texas.
Hugues Aufray en est le principal interprète. Les paroles françaises sont de Jacques Plante. Aufray l’enregistre le 17 novembre 1961, le disque sort le 2 décembre et la chanson se retrouve immédiatement en tête de tous les hit-parades. La chanson apparaît dans la plupart des paroliers de chants de camp et de veillée.

Pour le titre anglais (diverses graphies telles que Santiana, Santy Ano), il est fait allusion au président mexicain Antonio López de Santa Anna (Santianna), dont les premières strophes étaient :

O Santianna fought for fame
Away Santianna !
And Santianna gained a name
All in the plains of Mexico

Pour les paroles, je pense que vous les connaissez tous :

C’est un fameux trois-mâts, fin comme un oiseau,
Hisse et ho, Santiano

Je pars pour de longs mois en laissant Margot
Hisse et ho, Santiano
D’y penser, j’avais le coeur gros
En doublant les feux de Saint Malo

On prétend que là-bas, l’argent
coule à flots
Hisse et ho, Santiano
On trouve l’or au fond des ruisseaux,
J’en rapporterai plusieurs lingots.

Un jour je reviendrai, chargé de cadeaux
Hisse et ho, Santiano
Au pays, j’irai voir Margot,
À son doigt, je passerai l’anneau

Tiens
bon la barre et tiens bon le vent,
Hisse et ho, Santiano
Sur la mer qui fait le gros dos
Nous irons jusqu’à San Francisco
Dix-huits noeuds, quatre cents tonneaux,
Je suis fier d’y être matelot.

Tiens bon la barre et tiens bon le vent,
Hisse et ho, Santiano
Si Dieu veut, toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco