Selon une déclaration faite pour un grand magazine, Marine a déclarée : J’ai rendu mon écharpe parce que pour moi, le vote était truqué.
Le jury n’intervenant qu’en cas d’ex-aequo.
En effet, après la proclamation des résultats, Marine a immédiatement demandé à voir le détail des résultats, ce qui lui a été refusé par les membres de l’organisation, ceux-ci prétextant que personne ne pouvait vérifier les votes dès lors que le dépouillement était fini.
Pour cela, Marine compte bien introduire une action en Justice en demande d’annulation du résultat de l’élection MISS ALBIGEOIS MIDI-PYRENEES 2008 qui a eu lieu le 20 septembre 2008.
Marine Beaury sera présente dans les prochains jours à Paris lors d’une conférence de presse lors de laquelle elle s’expliquera devant les journalistes…
Un « collectif » constitué, entre autres, d’anciennes « MISS FRANCE » vient de se créer afin de rétablir la vérité sur l’historique du « COMITE MISS FRANCE » et sur le palmarès officiel des élections « MISS FRANCE » depuis la création du concours.
C’est à l’initiative de Claudine CASSEREAU devenue officiellement « MISS FRANCE 1972 » après la démission de Chantal BOUVIER de LAMOTTE intervenue quelques semaines seulement après son élection, que ce « collectif » se constitue actuellement.
Claudine CASSEREAU demande par voie de Référé devant le Tribunal de Grande Instance de Draguignan que soit rectifié le palmarès des « MISS FRANCE » qui aurait été « indûment modifié » par Madame Geneviève de FONTENAY. (Audience mercredi 17 décembre 2008 à 13 heures 30). Claudine CASSEREAU a été rejointe par « MISS FRANCE 1961 » Luce AUGER qui a également déposé plainte contre Madame de FONTENAY pour injures et diffamation publiques par voie de presse.
Ce procès est en cours au Tribunal Correctionnel de Marseille où Luce AUGER est représentée par Maître Gilbert COLLARD.
D’autres anciennes « MISS » et des ex-Délégués Régionaux du « Comité Miss France » ont déjà annoncé leur « ralliement » à cette cause en demandant également le départ de Madame de FONTENAY et l’abandon de ses fonctions au sein de l’organisation du concours « MISS FRANCE ».