Netflix propose de nombreuses nouveautés tout au long de l'année. D'ailleurs, il est possible de télécharger le catalogue en une seconde.
Netflix entame l’année 2025 avec un programme chargé, misant sur ses franchises phares et de nouvelles productions ambitieuses. D’ailleurs, il est possible de télécharger tout le catalogue en une seule seconde.
Des nouveautés à la pelle sur Netflix
Parmi les séries les plus attendues sur Netflix, la saison 3 de Squid Game débarque le 27 juin. Cette dernière vient ainsi clôturer la saga avec un casting renouvelé et des épreuves encore plus redoutables.
La série Wednesday revient dès le mois d’août avec une saison 2 découpée en deux parties, marquée par l’arrivée de Lady Gaga. Mais aussi Steve Buscemi aux côtés de Jenna Ortega, dans une ambiance toujours aussi gothique.
Les fans de Stranger Things découvriront la cinquième et ultime saison à la fin de l’année, avec une diffusion en trois volumes entre novembre et décembre. D’autres suites très attendues verront également le jour.
Comme la saison 2 de Sandman en juillet, Alice in Borderland saison 3, ou encore le retour en live-action de One Piece dans une saison 2 centrée sur l’arc Alabasta. L’univers de l’animation japonaise se renforce nettement sur la plateforme.
Avec l’arrivée de Cyberpunk: Edgerunners 2, prévue pour 2025, et la suite de Record of Ragnarok attendue en fin d’année. De nouvelles séries animées viennent enrichir le catalogue, comme My Melody & Kuromi, The Summer Hikaru Died — mêlant horreur et thématiques LGBTQ+ —.
Ou encore la suite de Sakamoto Days. Côté cinéma, Netflix aligne plusieurs blockbusters. The Old Guard 2, avec Charlize Theron, arrive en juillet, tandis que Happy Gilmore 2 marque le retour d’Adam Sandler.
Tout le catalogue téléchargeable en une seconde
Loin de l’agitation médiatique, dans les coulisses du National Institute of Information and Communications Technology (NICT), des chercheurs japonais viennent de réaliser une avancée spectaculaire. Ils ont réussi à transmettre plus d’un pétabit de données par seconde via une fibre optique.
Une telle vitesse, vertigineuse, permettrait en théorie de télécharger tout le catalogue de Netflix en une seule seconde. Une image forte, certes, mais qui illustre avant tout la portée symbolique de cette prouesse, encore limitée au cadre expérimental.
L’expérience repose sur une fibre optique d’un nouveau genre, dotée de 19 cœurs. Cette dernière se dit ainsi capable de faire circuler simultanément plusieurs flux de données.
Cette structure inédite a ainsi été testée sur une distance impressionnante de 1800 km, sans ralentissement notable. Ce qui en fait une avancée majeure dans la quête de réseaux toujours plus rapides et robustes.
Pour atteindre le débit record de 1,02 pétabit par seconde — l’équivalent de plus de 125 000 gigaoctets transférés en une seconde —, les ingénieurs ont combiné plusieurs technologies de pointe. Multiplexage spatial, modulation avancée et transmission via des canaux optiques parallèles.
Autant de techniques qui dépassent de très loin les capacités des infrastructures utilisées actuellement par les fournisseurs d’accès à Internet. Aussi impressionnante soit-elle, cette technologie n’est pas près d’arriver dans les foyers.
Des prouesses technologiques sur Netflix
Aujourd’hui, même les connexions fibre les plus performantes pour les particuliers plafonnent à quelques gigabits par seconde. Quant aux réseaux professionnels, rares sont ceux à franchir la barre du térabit, alors imaginer un accès au pétabit reste, pour l’heure, hors de portée.
Mais au-delà de l’exploit chiffré, cette avancée jette les bases des réseaux du futur. Entre l’explosion des objets connectés, le développement de l’intelligence artificielle, l’essor du streaming ultra haute définition, les besoins en bande passante ne cessent de croître.
Ce type de technologie pourrait donc, à terme, trouver sa place dans les dorsales intercontinentales. Ou les réseaux scientifiques de très haut niveau. Le Japon, toujours en tête dans la course aux télécoms.
L’image du Netflix téléchargé en une seconde restera longtemps un symbole, plus qu’une réalité accessible. D’une part, les restrictions liées aux droits numériques rendent tout transfert massif illusoire.
D’autre part, aucune installation domestique, ni aucun appareil du grand public, ne serait aujourd’hui capable d’ingérer une telle quantité de données aussi rapidement. Ce nouveau record confirme néanmoins la position de leader du Japon en matière de recherche sur les télécommunications.
Depuis plusieurs décennies, le pays investit massivement dans l’innovation autour de la fibre optique et des réseaux très haut débit. Déjà précurseur dans les années 2000 avec les premières offres gigabit, le Japon continue de repousser les limites physiques du transport de données.