Michel-Edouard Leclerc a annonce une très mauvaise nouvelle à ses clients... Il évoque l'absence de baisses de prix
Dans un contexte économique tendu, les promesses de baisse de prix s’éloignent. Michel‑Édouard Leclerc annonce qu’aucune baisse spectaculaire n’est à prévoir dans les rayons.
Le tournant des négociations chez Leclerc
Michel‑Édouard Leclerc est clair, l’inflation alimentaire ne tombera pas sous les 0 % cette année. Il rappelle que les coûts de production et d’approvisionnement restent assez élevés dans l’ensemble. Et ce, malgré la bonne volonté du secteur.
«Il ne faut pas s’attendre à des baisses de prix de folie, il n’y en a pas», dit-il. Mais il confirme que la situation était «stable», avec un «maximum de 0,8%, 0,9% d’inflation».
L’homme d’affaires va encore plus loin ! Il explique que depuis 2020, il y avait «un million de personnes qui sont venus accroître le nombre de personnes sous le seuil de pauvreté».
Ce sont des personnes, pour qui le pouvoir d’achat «a baissé et les prix sont en hausse». Malgré tout, il reste assez positif». «On peut passer de belles vacances cet été», a-t-il ajouté sur France 2.
Vous l’avez donc compris, le client ne verra pas les prix fondre si facilement. Un coup dur pour les ménages les plus modestes. Il insiste sur le fait qu’il ne souhaite « pas vendre du rêve » aux Français.
Le patron affirme que « on ne reviendra jamais aux prix d’avant ». Voilà qui traduit donc une grande prudence du côté de l’enseigne.
Attention ! Car le prix de certains produits vont exploser. C’est donc le cas du beurre, et du café. Michel-Edouard Leclerc explique que son enseigne «se bagarre» avec «des marchés internationaux hyper spéculatifs».
Il ajoute que de grandes marques utilisant des dosettes pour les machines à café «imposent (à Leclerc) des hausses de 50% alors qu’on est associé avec d’autres distributeurs européens qui ne proposent des hausses que de 25%».
Pas de baisse à venir
Les clients de Leclerc doivent donc réviser leurs attentes. Car les temps des baisses massives n’existent plus. Encore une fois, Michel-Edouard Leclerc fait preuve d’une grande franchise.
Il tient à dire toute la vérité à ses clients. Il dit avec le sourire : «Ça va fighter.» Mais ce n’est pas tout ! Car il a donc promis de faire «jouer à fond l’intérêt du client européen».
Et ce, même s’il pointe du doigt des «écarts de prix considérables» encore entre Etats d’UE. C’est donc une belle clarification dans un contexte où la confiance des ménages est à restaurer.
Malgré tout, les clients de la firme discount peuvent profiter des promos. Le patron n’hésite pas à cumuler les réductions sur ses produits. Chaque mercredi par exemple, les clients peuvent profiter de belles offres.
Sur la lessives, les produits d’hygiène, la déco ou bien la nourriture… Il est possible de faire de bonnes affaires ! En 2025, les limites budgétaires imposent donc de faire des choix éclairés. Et ce, sans illusion sur les promesses de prix cassés.
Avec la franchise de Leclerc, les clients continuent d’y faire leurs achats. Car après tout, le patron de cesse de faire jouer la transparence. L’objectif est double, préserver le pouvoir d’achat des clients tout en assurant la santé financière de l’enseigne.
La communication continue de plaire, car elle se veut responsable et honnête. Ainsi, il n’est plus question de fausses promesses, place à la vérité économique. En résumé, Leclerc met les pieds dans le plat : les clients doivent accepter des baisses ciblées !