60 Millions de consommateurs déconseille deux marques de pâtes très connues

Selon nos confrères de 60 Millions de consommateurs, il existe deux marques de pâtes très connues à considérer avec prudence.

Les pâtes sont un pilier incontournable de nos placards. Elles sont toujours une valeur sûre en période d’inflation. Pourtant, des marques jouent avec la confiance des clients et leurs portefeuilles.

À chaque plat ses pâtes !

Il existe une incroyable variété de formes pour accompagner toutes nos sauces. Des spaghettis qui se dégustent à la perfection dans une bolognaise généreuse. Aux penne rigate qui capturent la crème d’un carbonara.

Ce plat simple est devenu un réflexe pour les familles. Il se cuisine en un instant et satisfait les appétits les plus voraces. Son prix accessible en a donc fait un produit phare des courses.

Dans un contexte où le pouvoir d’achat est dur, les prix flambent. Les clients scrutent donc les étiquettes plus que jamais. Ils recherchent la qualité sans se ruiner. Cette quête de bon sens guide désormais nos achats au supermarché.

Nous voulons tous obtenir le meilleur rapport qualité-prix. C’est donc une nécessité pour serrer les budgets. Ainsi, le magazine 60 Millions de Consommateurs a mené l’enquête. Leur révélation est un gros coup de tonnerre.

Et pour cause ! Deux géants des pâtes sont pointés du doigt. Pour aller au bout de cette conclusion, l’asso a décortiqué les stratégies de plusieurs marques. Leur objectif était de identifier les pratiques les plus discutables.

Le constat est sans appel pour deux d’entre elles. Il s’agit de Barilla, l’un des leaders sur le marché. La marque est épinglée pour ses pâtes aux œufs. Elles sont en vente à un tarif supérieur… Pourtant, les apports nutritionnels sont très proches de ceux des pâtes classiques.

Il y a aussi des marques comme Carrefour qui vendent des pâtes fraîches à prix élevé.  Même si leur notoriété n’est plus à faire dans nos cuisines, leur stratégie tarifaire interroge.

La méthode est simple mais très efficace pour le porte-monnaie. Elles réduisent le poids de leurs paquets sans baisser le prix. C’est ce qu’on appelle la « shrinkflation ».

Une arnaque pour les clients ?

C’est donc un coup dur pour le client ! Car il paie donc le même prix pour moins de produit. Cette technique est souvent difficile à percevoir d’un coup d’œil. Il faut une grande vigilance pour la déceler.

Dans les deux cas, le prix au kilo est bien plus élevé que pour des pâtes sèches sans grande différence en nutriments. Le rapport souligne un autre aspect crucial de cette enquête. La qualité gustative de ces deux marques n’est pas en cause.

Le problème est donc éthique et financier. Il s’agit d’une question de transparence envers le client final. Ce dernier mérite de savoir pourquoi son panier devient plus léger. Et son compte en banque aussi.

Face à ce constat, une seule solution s’impose au client. Il devient impératif de lire les étiquettes avec la plus grande attention. Comparer le prix au kilo est donc un réflexe à ne pas manquer.

Ne vous laissez surtout pas séduire par le marketing seul. Ensuite, surveillez bien la compo’. Moins il y a d’ingrédients, mieux c’est. Les marques distributeurs représentent souvent une bonne alternative. Leur rapport qualité-prix est bien plus intéressant.

Elles vous offrent plus de pâtes pour le même budget. Ainsi, vous reprenez donc le pouvoir sur votre conso’. Vous pouvez donc contourner ces hausses de prix. Et continuer à vous régaler sans vous ruiner. Votre cuisine restera un lieu de plaisir et de partage intact.