Monoprix rappelle un sandwich contaminé à la salmonelle : ne le consommez surtout pas

Monoprix a récemment vendu un sandwich dans ses magasins, mais malheureusement, ce dernier est impropre à la consommation.

Monoprix s’est imposée comme l’une des enseignes les plus singulières du paysage français en mélangeant commerce de proximité, sélection premium et identité de marque audacieuse. Malheureusement, la marque a été éclaboussée par un scandale sanitaire.

Monoprix : une marque pérenne dans le temps

Depuis sa création en 1932, l’enseigne a bâti son succès sur une promesse simple. Rendre accessible un quotidien plus chic, plus pratique et plus urbain.

Installés au cœur des centres-villes, ses magasins répondent aux besoins d’une clientèle pressée, mais exigeante. Et ce, tout en réunissant en un même lieu alimentaire, mode, beauté et maison.

Cette approche hybride, rare dans la grande distribution, a permis à Monoprix de s’ancrer durablement dans les habitudes des citadins. L’enseigne doit aussi sa force à son sens aigu du style et de la communication.

Ses packagings au ton décalé, ses slogans ironiques et son univers graphique immédiatement reconnaissable lui ont ainsi donné une image chaleureuse. Parfois drôle, toujours moderne.

Monoprix a su faire de ce positionnement une vraie signature, créant un lien affectif avec ses clients. Parallèlement, son attention portée à la qualité des produits, aux collaborations créatives et à l’innovation dans les services.

Comme les livraisons express en ville, ce qui renforce son attractivité. Ce mélange de proximité, de design et d’audace explique pourquoi Monoprix reste, malgré la concurrence, une enseigne incontournable dans l’univers du retail urbain.

Un rappel produit à ne pas prendre à la légère

Ce lundi 10 novembre, Monoprix a annoncé le rappel d’un sandwich vendu dans tous ses magasins en France. Cela fait suite à la détection d’une contamination à la salmonelle.

Le produit concerné est la « Baguette brie tomate 225 g », commercialisée sous la marque Daily Monop. Il s’agit du lot daté du 09/11/2025, identifié par le code GTIN 3350033832046, et mis en rayon entre le 4 et le 10 novembre 2025.

Ce retrait fait suite à la présence de Salmonella spp., la bactérie responsable de la salmonellose, une infection alimentaire potentiellement dangereuse. Les clients ayant acheté ce sandwich doivent impérativement éviter de le consommer.

Ils sont ainsi invités à le détruire. Ils peuvent contacter leur magasin pour obtenir des informations ou un remboursement. Notamment via le numéro dédié 0 800 084 000.

La salmonellose apparaît donc généralement entre six et soixante-douze heures après ingestion et se manifeste par des diarrhées, des vomissements. Mais aussi de la fièvre et des maux de tête.

Les symptômes peuvent être ainsi plus sévères chez les jeunes enfants, les personnes âgées, les femmes enceintes. Ou ainsi les personnes fragilisées.

Monoprix : ne consommez pas les sandwichs de cette marque

Toute personne qui présente ces troubles après avoir mangé ce produit est encouragée à consulter rapidement son médecin. En l’absence de symptômes dans les sept jours suivant la consommation, aucune inquiétude particulière n’est à avoir.

Toutes les informations concernant les rappels de produits sont disponibles sur le site officiel rappel.conso.gouv.fr. Cet été, déjà, un plat préparé vendu uniquement dans cette enseigne avait fait l’objet d’un rappel de produit à l’échelle nationale.

Ce produit a depuis été retiré des rayons. Mais il se peut ainsi que plusieurs consommateurs l’aient déjà acheté avant son retrait. Sur le site Rappel Conso, il était donc possible de voir, en détail, les éléments de ce produit rappelé.

Ce plat préparé a fait l’objet d’une distribution par l’entreprise JOURNEY Aussitôt Bon dans plusieurs Monoprix en France. La mise en rayon s’est faite du 24/05/2025 au 28/06/2025.

Ce plat préparé se présente donc sous la forme d’un doypack de 372 g avec pour ingrédients du Pulled pork, Écrasé de pomme de terre, Sauce barbecue artisanale, de la marque Aussitôt Bon. Les clients se voyaient invités à le rendre en magasin pour se faire rembourser.