Le groupe Acadomia se fait remarquer à la rentrée 2009 en proposant un service garanti ou remboursé comme dans les hypers marchés mais pour le Baccalauréat.
Bien sûr il y a un coup : 245 euros par mois qui seraient remboursés si lle lycéen échoue au bac. Plutôt pas mal comme offre !
Philippe Coléon, patron du groupe, risque de se faire remonter les bretelles par le gouvernement qui n’est pas super enjoué par cette nouvelle offre.
Je ne comprends pas cette agressivité sur le parascolaire. Nous sommes un miroir de ce qui ne va pas. La solution, ce n’est pas de casser le miroir ! Je propose, sans mettre le couteau sous la gorge.On a décidé de modifier notre approche : l’Education nationale est en train de glisser vers l’offre de services, avec ses stages de soutien et de remise à niveau hors du temps scolaire. Elle se place en concurrente du soutien privé. Du coup, on va se positionner sur l’efficacité, sur le résultat… ce que l’école ne promet pas.On prétend que cet examen est donné, mais il reste 14 % d’élèves qui échouent. M. Coléon fait le pari d’attirer les mauvais et moyens élèves.On n’a pas inventé la pilule miracle pour avoir le bac, poursuit le boss d’Acadomia. D’où l’idée de passer un contrat avec l’élève. En terminale, il est censé fournir 500 heures de travail pendant l’année, on va tout mettre en oeuvre pour l’aider sur 12 %. Le reste, ce sera toujours à lui de jouer…
(Source Leparisien.fr)
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