Automobilistes: cette lourde amende à 1500 euros si vous faites ça avec votre voiture

Les automobilistes pourraient recevoir une amende d'un montant de 1500 euros s'ils ne respectent pas cette condition importante.

En France, les automobilistes savent qu’ils s’exposent à des amendes dans plusieurs situations. Si vous envisagez de prêter votre véhicule, vous risquez de payer jusqu’à 1500 euros…

Les règles à respecter des automobilistes

Les automobilistes doivent s’attendre à des amendes permanentes. En 2024, les radars et les amendes seront omniprésents sur les routes.

Ces dispositifs jouent donc un rôle crucial dans le maintien de l’ordre sur les routes françaises. Ce qui contribue à la sécurité routière en surveillant les excès de vitesse, les feux rouges brûlés, et les comportements dangereux.

Leur présence encourage les automobilistes à respecter les règles de conduite, ce qui régule ainsi le trafic et réduit les risques d’accidents et de blessures. En plus de leur fonction préventive, les radars aident les forces de l’ordre à identifier rapidement les infractions.

Depuis janvier 2024, une nouveauté a fait son apparition sur les routes françaises. Il s’agit de radars équipés de capteurs thermiques, qui utilisent des capteurs sensibles aux rayons infrarouges, permettant de détecter les infractions liées au covoiturage.

Ces radars représentent une avancée significative dans le contrôle des véhicules circulant sur les voies réservées au covoiturage. Ils vérifient le nombre de passagers dans les véhicules circulant sur ces voies, une mesure pertinente pour éviter les embouteillages.

Grâce à l’intelligence artificielle intégrée, la date, le modèle du véhicule et la plaque d’immatriculation, il est possible de détecter les fraudes et d’attribuer des amendes. Les premiers radars thermiques ont été installés à Lyon en janvier 2024, sur les routes M6 et M7.

Votre voiture pourrait vous porter préjudice

Pour lutter contre la pollution sonore sur les routes, la France a décidé d’installer des radars anti-bruit. Ces dispositifs visent à sanctionner les véhicules dépassant les niveaux sonores autorisés, entraînant de lourdes amendes pour les contrevenants.

Cette mesure s’inscrit dans le cadre de la lutte contre les nuisances sonores, un problème de santé publique croissant. Inspirés par la loi d’orientation des mobilités, ces radars sont un outil supplémentaire dans l’arsenal de la sécurité routière.

Les radars déterminent si le niveau sonore dépasse le seuil autorisé, généralement fixé entre 85 et 90 décibels. Avant d’identifier le véhicule en infraction et d’attribuer une amende.

Les automobilistes qui dépassent la limite risquent une amende forfaitaire de 135 euros. Elle sera réduite à 90 euros en cas de paiement rapide.

Cette mesure vise donc à dissuader les comportements bruyants sur la route. Notamment les modifications des pots d’échappement ou les accélérations excessives.

Une amende aux automobilistes qui prêtent leur voiture

Avez-vous entendu parler du dispositif de leasing social initié par l’Élysée ? Ce dernier a fait l’objet d’une suspension seulement six semaines après son lancement.

Cette initiative, lancée mi-février, permet donc aux personnes à faibles revenus d’acquérir une voiture électrique pour environ 100 euros par mois. Avec plus de 50 000 commandes confirmées, cette idée a largement dépassé l’objectif initial de 20 000 à 25 000 véhicules.

L’État prévoit de relancer cette initiative début 2025 pour continuer à soutenir les ménages en difficulté. Lors de la signature du contrat, les bénéficiaires devaient respecter certaines conditions, comme un engagement de 36 mois minimum.

En février, une nouvelle règle interdit explicitement la sous-location des véhicules bénéficiant du leasing social pendant la durée du contrat. Le gouvernement veut s’assurer que ces voitures se veulent utilisées uniquement pour un usage personnel et non pour générer des revenus.

En effet, le coût mensuel attractif a incité certains à en tirer profit. Les 50 000 bénéficiaires risquent désormais une amende de 1 500 euros en cas de sous-location illégale, que ce soit via des plateformes comme Getaround (ex-Drivy) et Turo, ou par d’autres moyens.

Bien que la location rémunérée soit interdite, il reste donc possible de prêter gratuitement sa voiture à une autre personne. A condition que celle-ci possède un permis de conduire valide et que le contrat d’assurance permette un second conducteur.