CAF: voici comment profiter de cette aide que 300 000 parents oublient de demander chaque année !

Les aides de la CAF profitent au plus grand nombre. Pourtant, il y en a une que de nombreux Français oublient de demander...

Chaque année, la CAF délivre des millions d’aides à des millions de Français. Et parmi elles, une allocation spécifique qui n’est pas réclamée alors que 85% des Français peuvent en profiter.

Des aides de la CAF pour tous

La CAF propose des aides au plus grand nombre. Chaque mois, des dizaines et des dizaines d’aides sont accessibles au plus grand nombre pour permettre.

Parmi elle, il y a les allocations familiales. Elles sont destinées à soutenir les familles en versant une prestation mensuelle pour chaque enfant à charge.

Le montant dépend donc du nombre d’enfants et des revenus de la famille. Et ce n’est pas la seule aide de la CAF, puisque le complément familial est aussi une aide destinée aux familles nombreuses à faibles revenus.

Ce dernier vise donc à compléter les revenus des familles ayant un ou plusieurs enfants âgés de plus de trois ans. Il y a également l’allocation de rentrée scolaire.

Il s’agit d’une aide financière versée aux familles ayant des enfants scolarisés âgés de 6 à 18 ans. Son objectif est d’aider les familles à faire face aux dépenses liées à la rentrée scolaire.

Les APL se voient destinées à aider les personnes et les familles à payer leur loyer. Son montant dépend du niveau de revenu, de la composition familiale, du loyer et de la localisation géographique. Il y a aussi le revenu de solidarité active, appelé RSA.

Il s’agit d’une prestation destinée à garantir un revenu minimum aux personnes et aux familles ayant des ressources limitées. Son montant dépend des revenus, de la composition familiale et de la situation professionnelle.

Des aides pour le mois de juin

En France, de nombreux allocataires bénéficient de nombreuses aides. Avec l’inflation, une revalorisation a permis aux foyers de bénéficier de sommes supplémentaires pour joindre les deux bouts.

Le gouvernement a donc augmenté les aides sociales de 4% au 1er juillet de l’année dernière pour faire face à l’inflation. Le 1er avril 2023, une nouvelle augmentation de 1,6% des aides a fait l’objet d’une validation.

Cette mesure va donc profiter à plus de 13 millions de foyers qui reçoivent au moins une prestation légale de la CAF. Y compris les aides au logement telles que les APL, les aides financières et sociales telles que le RSA ou la prime d’activité.

Mais aussi les aides à la petite enfance et les aides à la naissance. Au mois de juillet 2021, 1,95 million de foyers ont reçu une aide financière appelée RSA.

Pour pouvoir recevoir cette aide, il faut donc remplir certains critères en ce qui concerne l’âge, la résidence, le statut et les revenus. Le montant de base du RSA est donc de 607 euros par mois pour une personne seule qui n’a pas d’enfants à charge.

D’ailleurs, une aide méconnue des Français permet d’avoir des revenus supplémentaires pour joindre les deux bouts. Pourtant, elle se veut méconnue du plus grand nombre.

Une aide de la CAF accessible à tous

Il existe une aide appelée Allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH). Elle se voit destinée aux parents qui s’occupent d’un enfant handicapé, et elle se veut donc très peu connue.

Cette dernière vise à payer les coûts supplémentaires liés au handicap et aider l’enfant à être plus indépendant. Le montant minimum de l’AEEH est de 142,70 euros par mois. Mais il peut être plus élevé en fonction de chaque situation individuelle.

Selon une étude réalisée par MesAllocs, plus de 300 000 parents ne bénéficient pas de l’AEEH, alors qu’ils y ont droit. Environ 85% des personnes éligibles n’en font pas la demande.

Cela veut donc dire que chaque année, des centaines de millions d’euros ne se voient pas utilisés pour aider les parents dont les enfants sont en situation de handicap. Il y a plusieurs raisons à cela.

En effet, certains ne connaissent pas l’AEEH. Pour en bénéficier, l’enfant doit avoir moins de 20 ans et être en taux d’incapacité d’au moins 80% (ou entre 50% et 80% s’il fréquente un établissement spécialisé ou s’il nécessite des soins particuliers). Pour savoir si vous pouvez en bénéficier, rendez-vous sur le site de la CAF.