Ces 2 marques de pâtes à ne jamais acheter selon 60 Millions de consommateurs

60 Millions de consommateurs a dévoilé les deux marques de pâtes que vous ne devez jamais manger pour prendre soin de votre santé !

Les pâtes font clairement partie des aliments les plus consommés en France. Pratiques, économiques et réconfortantes, elles s’adaptent à tous les repas et à toutes les sauces. Chaque Français en consomme près de 9 kilos par an.

Les pâtes : un incontournable de nos cuisines

En revanche, toutes les pâtes ne se valent pas. Selon une récente enquête du magazine 60 Millions de consommateurs, certaines marques seraient à éviter. Et ce, à cause de leur qualité discutable, mais aussi de leur rapport qualité-prix peu avantageux.

Les spécialistes rappellent que les pâtes peuvent parfaitement s’intégrer à une alimentation équilibrée à condition de bien les choisir et de les accompagner intelligemment. Un simple filet d’huile d’olive, quelques herbes et un zeste de citron suffisent pour un plat sain et savoureux.

À l’inverse, les recettes trop grasses à base de crème, de lardons ou de sauces industrielles transforment un aliment simple en bombe calorique. Mais en plus de l’assaisonnement, le véritable piège se cache dans la composition et la transformation de certaines marques.

Le magazine 60 Millions de consommateurs a comparé plusieurs références présentes dans les rayons des supermarchés français. Les marques comme Panzani, Lustucru, Barilla, De Cecco ou Rummo figurent parmi les plus connues.

En revanche, sachez qu’elles ne présentent pas toutes le même niveau de qualité. Le test révèle des différences notables dans la fabrication, la composition et même le séchage des pâtes. Certaines marques utilisent des procédés rapides et des matières premières moins nobles.

Des prix injustifiés

Ce qui impacte directement la texture, la valeur nutritionnelle et le goût du produit. Les pâtes fraîches sont souvent perçues comme un produit plus raffiné. Pourtant, les experts du magazine déconseillent de les choisir en pensant qu’elles restent meilleures pour la santé.

Leur composition repose sur du blé tendre, moins riche en protéines et en fibres que le blé dur utilisé pour les pâtes sèches. Leur intérêt nutritionnel reste donc limité. En revanche, leur prix, lui, reste bien plus élevé.

Par exemple, Carrefour propose des tagliatelles sèches à 2,58 euros le kilo, contre 4,14 euros pour les pâtes fraîches équivalentes. Une différence de prix injustifiée selon les nutritionnistes. Le constat reste le même pour les pâtes aux œufs.

En effet, leur couleur dorée et leur texture plus ferme séduisent de nombreux consommateurs. Pourtant, sachez qu’elles n’apportent pas de bénéfices supplémentaires à l’organisme. L’ajout d’œufs améliore légèrement la teneur en protéines.

En revanche, cela ne change pas pour autant la valeur nutritive globale du plat. C’est pour cette raison que le surcoût reste difficile à justifier. Certaines marques comme Barilla vendent leurs tagliatelles aux œufs à 5,44 euros le kilo, contre 3,58 euros pour la version classique.

Ces marques à éviter

Selon 60 Millions de consommateurs, deux marques sortent particulièrement du lot pour de mauvaises raisons. Les pâtes industrielles premier prix et certaines gammes « premium » comme les Barilla aux œufs obtiennent des notes faibles pour leur rapport qualité-prix.

Les tests mettent en avant une teneur nutritionnelle moyenne, des prix élevés et parfois une cuisson peu homogène. Ces pâtes ont tendance à coller, à se casser facilement ou à perdre leur texture ferme après quelques minutes.

Il s’agit de signes d’une qualité de semoule inférieure ou d’un séchage trop rapide. À l’inverse, certaines marques artisanales ou italiennes comme De Cecco ou Rummo se distinguent par une fabrication plus traditionnelle.

Leur secret repose sur un séchage lent à basse température et un tréfilage au bronze. Ces deux techniques conservent la structure du gluten et permettent à la sauce d’adhérer naturellement à la pâte.