Google Maps : voici comment activer les alertes de radars de vitesse sur l'app

Google Maps est une app révolutionnaire qui a fait ses preuves. D'ailleurs, une astuce permet de détecter les radars de vitesse.

En 2025, Google Maps continue d’évoluer bien au-delà d’une simple application de navigation. Devenu un outil de référence pour explorer le monde, il intègre aujourd’hui une dimension immersive et la possibilité d’activer un détecteur de radars.

Google Maps : une app qui a le vent en poupe

Grâce à l’intelligence artificielle, Google Maps propose désormais des itinéraires optimisés. Et ce, en fonction des habitudes de déplacement, des préférences de transport (vélo, transports en commun, voiture électrique, marche).

Ou encore de la météo en temps réel. Une des évolutions marquantes est l’amélioration de l’Immersive View, une vue photoréaliste et interactive des lieux, mêlant images Street View, vues satellites et modélisations 3D.

Cela permet ainsi aux utilisateurs de visualiser des quartiers entiers comme s’ils y étaient. Avec des indications sur l’affluence, les conditions météo ou la luminosité attendue à une heure donnée.

Google Maps se veut donc aussi devenu un allié du quotidien pour les mobilités douces. Il intègre des parcours cyclables plus détaillés, des alertes sur la qualité de l’air.

Ainsi qu’un repérage précis des bornes de recharge électrique. Côté accessibilité, l’app propose des infos enrichies pour les personnes à mobilité réduite.

Entrées accessibles, ascenseurs, pentes, trottoirs larges, etc. Enfin, Google pousse les usages communautaires : avis, photos, vidéos, recommandations ou encore itinéraires partagés sont valorisés.

Des astuces méconnues des automobilistes

Avec la réalité augmentée, la navigation piétonne devient plus fluide, notamment dans les gares, centres commerciaux ou aéroports. En 2025, Google Maps ne se contente plus d’indiquer une direction : il accompagne et conseille les automobilistes.

Saviez-vous qu’il est possible d’afficher les radars sur Google Maps en toute légalité ? Pour cela, il suffit d’utiliser une application gratuite baptisée TomTom AmiGo.

Développée par le célèbre spécialiste de la navigation TomTom, cette appli permet de recevoir des alertes radars tout en continuant à utiliser Google Maps. Un bon moyen de contourner les limitations imposées par la loi française.

Cette dernière interdit les avertisseurs de radars classiques (article R.413-15 du Code de la route). Mais, elle autorise les systèmes signalant des « zones de danger ».

Pour profiter de cette astuce, commencez par télécharger TomTom AmiGo depuis le Google Play Store. Puis installez-la sur votre smartphone Android.

Avant d’activer le mode superposition (qui permet à AmiGo d’apparaître au-dessus de Google Maps), pensez à configurer la synthèse vocale. Ainsi, les alertes seront énoncées à voix haute, évitant toute distraction visuelle.

Éviter les radars grâce à Google Maps

Ensuite, direction les Paramètres de l’application. Faites défiler jusqu’à « Mode de superposition » et validez son activation et il reste une dernière étape cruciale.

Autoriser l’affichage des fenêtres pop-up dans les paramètres de votre téléphone. Sans cette autorisation, le widget flottant (affichant les alertes radars et la vitesse maximale autorisée) ne pourra pas s’afficher au-dessus de Google Maps.

Attention, cette fonctionnalité n’est disponible que sur Android. Sur iPhone, le système iOS interdit les widgets flottants en superposition d’autres applications.

Les utilisateurs Apple peuvent néanmoins utiliser TomTom AmiGo en mode autonome, en remplacement de Google Maps ou Waze. Bien que son interface soit plus sobre et ses fonctions d’itinéraire moins poussées, AmiGo reste une aide efficace.

Elle se veut ainsi compatible avec iOS, Android, Android Auto et CarPlay. D’après de nombreux conducteurs, TomTom AmiGo offre des alertes plus fines que Waze, notamment en distinguant radars fixes et radars mobiles.

Là où Waze se concentre surtout sur les dispositifs fixes, AmiGo couvre un éventail plus large. Seule limite : dans les zones peu fréquentées, les signalements — communautaires — peuvent être moins fiables.