GTA 6 est devenu le jeu le plus attendu de la décennie, et les rumeurs s’enchaînent depuis que Rockstar a confirmé son retour à Vice City. Concernant les voitures, Rockstar a prévu des modèles à couper le souffle.
Tout savoir sur le prochain GTA 6
Officiellement, le studio Rockstar a annoncé que le développement prenait plus de temps que prévu. Et que l’équipe voulait atteindre un niveau de finition « à la hauteur des attentes ».
Résultat : la sortie, d’abord évoquée pour 2025, glisserait désormais vers fin 2026. Une fenêtre jugée plus réaliste par la plupart des observateurs.
Côté rumeurs, plusieurs insiders affirment que Rockstar testerait encore des fonctionnalités majeures. Notamment l’IA comportementale des PNJ, les transitions météo extrêmes et un système de monde persistant plus dynamique que dans GTA 5.
Certains évoquent aussi un lancement d’abord réservé aux consoles. Avec une version PC potentiellement décalée de quelques mois, comme souvent avec le studio.
Les « leaks », eux, continuent d’affluer. Captures d’écran floues, mini-séquences de gameplay, prétendues cartes complètes de Vice City…
Mais Rockstar a prévenu que la majorité de ces contenus proviennent de versions anciennes et ne reflètent pas le jeu final. Une chose est sûre : avec un cycle de développement qui dépasse les huit ans, GTA 6 s’annonce comme le projet le plus ambitieux de Rockstar.
Tout savoir sur les voitures du prochain opus de Rockstar
Entre fascination et doute, la communauté gaming s’emballe à nouveau. Le second trailer de GTA 6, attendu comme un mirage depuis plus de dix ans, a ravivé une obsession bien connue.
Décortiquer chaque image pour y déceler la preuve que Rockstar s’apprête à repousser une fois de plus les frontières du réalisme. Mais cette fois, ce ne sont ni les paysages ni les personnages qui volent la vedette… ce sont les voitures.
Sur Reddit, un internaute, visiblement scotché par les images, lâche une phrase qui résonne comme un blasphème pour les puristes de la simulation automobile. « Le niveau de détail pourrait dépasser celui de Gran Turismo. »
Une sortie audacieuse, presque provocatrice, mais qui illustre bien l’ampleur des attentes autour du jeu. Comparer GTA à Gran Turismo peut sembler absurde : d’un côté, un jeu en monde ouvert où le chaos règne en maître.
De l’autre, une référence absolue du réalisme automobile. Pourtant, la comparaison n’est pas si farfelue, car depuis Red Dead Redemption II, Rockstar a prouvé qu’il maîtrisait l’art du détail obsessionnel.
GTA 6 semble bien décidé à reprendre cette quête du détail extrême, mais cette fois en concentrant les attentes sur les véhicules. Dans Vice City, les voitures ne sont pas seulement des moyens de transport.
Ce sont des objets vivants, soumis aux intempéries, aux reflets, à l’usure. « Regardez la condensation à l’arrière de cette voiture, la profondeur des lumières… Tout le monde est bluffé », commente encore un internaute médusé.
Un réalisme inédit dans GTA 6
Il faut dire que derrière le projet se cache une véritable machine industrielle. Le développement de GTA 6 aurait mobilisé entre 2 000 et 3 000 personnes pendant près de huit ans.
« Un jeu unique, doté d’un budget que personne d’autre n’aurait pu aligner », souligne un joueur. Rockstar ambitionne manifestement de faire de chaque élément du jeu une vitrine technologique.
Les véhicules — voitures, motos, avions — devraient en profiter plus que jamais. Et même la météo, souvent secondaire ailleurs, devient ici un acteur clé. C’est sur ces détails dynamiques que le jeu pourrait creuser son avance sur les simulations classiques.
La véritable prouesse ne résidera peut-être pas dans la précision des modèles 3D. Mais dans la capacité à maintenir ce niveau de détail au cœur d’un monde vaste, vivant, imprévisible.
Contrairement à Gran Turismo, qui se déroule dans des environnements contrôlés, GTA doit gérer en simultané une foule. Mais aussi des PNJ, une météo évolutive, un cycle jour-nuit et des interactions permanentes.
Alors GTA 6 peut-il rivaliser avec Gran Turismo visuellement ? Sur la sensation de réalisme, dans un monde qui respire et réagit, la réponse pourrait bien être un grand oui.
