Helena Noguerra Tout Morose

Autour de la voix d’Helena, la ligne claire dont Seb Martel et elle ont habillé, déshabillé plutôt, ces lumineuses demoiselles. Quelques trilles d’un piano-oiseau (tenu par Benoît Delbecq, le complice d’Azul, et par Julien Baer sur La Mémoire qui flanche) ; un vibraphoniste nommé Bertrand Burgalat (patron de Tricatel, producteur d’Azul) ; une clarinette pour un Tourbillon ; un banjo, un violoncelle, un peigne (dont joue le père d’Helena), des guitares acoustiques et électriques, Franck Monnet en choriste-complice… Sons en apesanteur, sculptant le silence autour des mots, des mots d’amour, amour-passion ou amour-papillon