Une Américaine a trouvé une lettre SOS d’un travailleur chinois dans une boite décoration. Julie Keith, habitante de l’Oregon, pensait installer tranquillement les pierres tombales en polystyrène de son kit cimetière qu’elle avait acheté pour Halloween, dans un magasin Kmart. Elle tomba sur un appel au secours d’un travailleur chinois.

Le travailleur chinois y décrit des journées de 15 heures, pour le salaire misérable d’1,20 euros par mois, sans pauses dominicales, ni vacances, des tortures dans un camp de travail au nord-est de Pékin à Masanjia. Il demande à quiconque trouvera sa lettre : d’avoir l’amabilité de la renvoyer à l’Organisation Mondiale des Droits de l’Homme.

Des milliers de personnes, qui sont persécutées par le parti communiste chinois, vous remercieraient et ne vous oublieraient pas.

Les douanes américaines ont lancé une enquête pour déterminer l’authenticité, car il est en effet illégal d’importer aux États-Unis des produits fabriqués par des travailleurs forcés ou prisonniers.