Des chercheurs de l’Institut Juan March de Madrid ont réalisé une étude sur le comportement des hommes sur les tâches ménagères. Publiée dans le numéro de la Revue américaine de sociologie, la véracité de l’étude confirme à l’inverse que si l’homme participe à des tâches jugées par la société comme adaptée au sexe masculin, les rapports sexuels seront plus fréquents.

D’après leurs conclusions, plus les hommes s’attèlent à la lessive, à la vaisselle, à la cuisine ou à toutes autres tâches à la maison, moins ils auront des rapports sexuels avec leur conjointe.

Les couples dont cette situation prédomine sont les plus touchés par ce phénomène. Chaque sexe possède ses propres rôles sociaux au sein du foyer. Dénommé Égalitarisme, travail ménager et fréquence des rapports sexuels dans le mariage, l’article intervient alors au sein même de la vie familiale de nombreux mariages.

Ainsi, 7.002 personnes ont participé à l’étude et ont permis de tirer cette conclusion qui interpelle à beaucoup de polémique. L’homme, son caractère, sa virilité doit réagir, néanmoins, il devra contribuer d’une manière ou d’une autre aux tâches ménagères aux risques d’entrer en conflit avec sa compagne et produire les mêmes effets, c’est-à-dire, ne pas avoir de rapports sexuels fréquents.