Excellent reportage d’Arte Pérou : le mur de la honte . Un mur qui sépare la population riche de celle pauvre.

Environ deux tiers de la population vit à Pamplona alta, à la périphérie de la capitale péruvienne. Ici, ni gaz, ni électricité, ni eau courante, mais des cabanes en bois et en tôle accrochées à flanc de montagne. De l’autre côté du mur, à Las Casuarinas et la Molina, des rues goudronnées ourlées d’espaces verts accueillent des villas cossues avec jardins et piscine.

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