Bernard Laporte à propos d’un possible retour en politique:
Je ne souhaite pas en faire mon métier mais en refaire ne me déplairait pas.
Pour éviter la confusion des genres, il aurait dû faire preuve d’une grande retenue, alors que chacun sait qu’à l’Elysée ce dossier a bénéficié d’une attention toute particulière.
Je ne me suis pas engagée en politique pour me faire traiter de pute
Le problème majeur de notre président de la République est l’écart entre son discours et ses actes.
J’ai envie de lui dire: Monsieur Duhamel, taisez-vous!
Je suis un ami non aligné de Nicolas Sarkozy.
Strasbourg est une fabuleuse école de démocratie. On y pratique l’art du compromis permanent, mais pas de la compromission.
Avant, certains m’appelaient le Sarkozy de gauche. Je descends d’une catégorie !
Cohn-Bendit est un salopard aux méthodes staliniennes.
Pécresse, c’est moins de stress !
A la Défense, Jean Sarkozy, c’est la cerise sur le gâteau !
J’ai trouvé qu’il y avait plus de passion que de promotion de la violence (…) Je l’ai ressenti comme une traduction de passion, et par moment les passions deviennent folles.
Excusez-moi parce que j’ai travaillé jour et nuit toute cette semaine et je n’ai pas eu le temps de suivre tous les aspects de cette polémique, certainement passionnante et que je retrouverai en revenant à Paris. Honnêtement, j’ai été bien occupé ici par des dossiers extrêmement lourds et je n’ai pas pu suivre les péripéties de toute cette actualité, mais je suis sûr qu’elle a été passionnante.
Laurent Wauquiez :
Les prévisions, c’est pas notre travail, mon travail à moi c’est d’essayer de faire mieux que les prévisions.
Brice Hortefeux :
Vous savez la règle est simple: il ne doit y avoir ni territoire oublié, ni population négligée, ni déliquance tolérée.
Xavier Bertrand :
L’Europe a besoin de pédagogie, elle a pas besoin de démagogie.
et
Les socialistes ont préféré la démagogie à l’écologie.
Rachida Dati à propos de Brice Hortefeux :
Je dis simplement qu’il y a des sujets graves en France : le chômage, la crise financière dont on parlait à l’instant ; et je trouve que pour moi, il y a des priorités beaucoup plus importantes pour les Français et la vie des Français.
Ségolène Royal, interrogée sur son éventuelle candidature au poste de Premier secrétaire du Parti socialiste :
Ça n’est pas d’actualité… Personne ne me mettra la pression sur quoique ce soit. Aujourd’hui je suis engagée dans un travail en profondeur, dans un combat corps à corps dans les municipales…
Christian Estrosi :
D’ailleurs, qu’est-ce qu’on disait avant la crise? Que le politique ne servait plus à rien, que c’était la libre-concurrence, que c’était la libre-compétition qui agissait. Eh bien cette crise a permis de démontrer qu’il y avait le retour du politique et que le volontarisme politique façon Sarkozy eh ben ça marchait et ça avait sans doute permis à la France, notamment avec son plan de relance fondé sur l’investissement, de mieux résister.