L’Afrique du Sud détient le record du mini-taxi le plus surchargé de l’histoire. En 2009, un chauffeur de Khayelitsha, au Cap, avait réussi à transporter 112 passagers dans une mini-fourgonnette qui ne devait accueillir qu’un maximum de 26 passagers. Le scénario choquant est devenu un sujet viral sur les médias sociaux et a exhorté les autorités locales à devenir plus strictes pour assurer la sécurité de tous.

Cependant, malgré l’avertissement constant des responsables de la circulation d’arrêter ce type de pratique, de nombreux conducteurs en République dominicaine sont encore assez courageux pour enfreindre la loi. Tel est le cas de ce conducteur par ici qui a vraiment essayé de compresser 18 personnes dans une voiture supposée de 5 places.

Les agents de service qui ont vu la voiture dans une rue inconnue en Afrique les ont interpellés et ont demandé aux passagers de déménager. À leur grande surprise, ils ont découvert que la voiture était surchargée ! Hormis le conducteur et l’homme assis sur le siège avant, il reste 13 passagers à l’arrière (dont 1 femme et 1 enfant) et 5 autres hommes se serrant dans le coffre de la voiture. Hou la la !

La question maintenant, comment ont-ils réussi à y entrer et à rester dans ces positions ?

Évidemment, tous ne portaient pas de ceinture de sécurité. De plus, ils ses sont risqués les uns et les autres en montant dans cette voiture surchargée.

JP Smith, membre du comité du maire pour la sécurité, la sûreté et les services sociaux en Afrique du Sud, a décrit ce type d’incident comme «absolument choquant» et ne devrait jamais être toléré. Dans un entretien précédent avec News 24, il a déclaré :

« Bien que je comprenne qu’il y a une pression immense sur le système de transport public, ainsi que sur les personnes qui en dépendent pour aller au travail, il n’y a aucune excuse pour ce type de comportement. Je frémis de penser aux conséquences si ce véhicule devait être en collision. Ces incidents ne font rien pour la réputation de l’industrie du taxi, et j’appelle donc les propriétaires et les associations à s’attaquer à ce type d’anarchie ».