Si vous vous sentez seul, regardez un film d’horreur, vous allez voir que vous allez soudainement vous sentir moins seul. C’est dans ce concept de la peur que les illustrations de cet artiste nous plonge dans un monde mystérieusement cauchemardesque.

La peur comme inspiration

Stefan Koidl est un illustrateur freelance, basé à Autriche. Sa page Artstation compte 574 abonnés avec 1 673 mentions j’aime et près de 39,452 vues. Cela n’est pas étonnant vue la qualité de ses dessins numériques.

Un père Noël avec des bras multiples au clown effrayant, les images ressemblent à une vraie galerie de l’horreur. L’artiste Stefan Koidl s’est inspiré des peurs les plus communes et les plus intimes.

Les héros de ses œuvres ne sont pas forcément agressifs, mais donnent clairement un sentiment d’horreur.

Les œuvres de l’artiste sont fascinantes car elles mêlent crainte, frayeur et frisson. Il est peu probable qu’après avoir regardé ses images vous ayez envie de dormir dans le noir. Les illustrations l’artiste font revivre les peurs cachées.

Des références à la culture populaire dans l’art numérique

Les créations de l’artiste attirent l’attention. En effet, certaines images font référence à des choses, des personnages issus de la culture populaire. Par exemple la grande avec des hommes pondus dessus ou encore une vision de Superman dans un monde chaotique.

Puis il y a aussi la référence à la fille du puits du film The Ring et bien d’autres exemples.

L’art numérique, est une pratique de la peinture ancienne, améliorée sans être radicalement transformée par les outils et supports numériques. C’est le cas des illustrations de Stefan Koidl qui sont réalisées numériquement.

Par ailleurs ses œuvres sont accessibles en ligne, en tout temps et en tous lieux, par des milliers de visiteurs.

L’artiste nous invite alors à regarder autrement les technologies numériques qui désormais font parties intégrantes de toutes nos activités. Cela grâce à des images angoissantes. Dans ses œuvres, l’artiste met en évidence les peurs qui effraient le plus souvent les grands et les petits.