Booba l'émission Quotidien de Yann Barthès le remercie pour son combat contre les influvoleurs !

Le combat de Booba a payé ses fruits. Car l'Etat scrute enfin les actions des influvoleurs ! Le Quotidien remercie le rappeur pour son combat

Booba l’avait annoncé sur les réseaux, les influenceurs sont sur le point de vivre leurs derniers moments de gloire. L’équipe du Quotidien a félicité le rappeur pour son combat qui a enfin payé ses fruits !

Booba gagne son combat contre les influvoleurs !

Cela fait plus d’un an que Booba dénonce les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux. Magali Berdah, Maeva Ghennam, Dylan Thiry, Julien et Manon Tanti, Milla… La liste est longue ! Il les accuse d’avoir fait des placements de produits frauduleux.

Un coup dur pour ceux qu’il considère comme des ‘influvoleurs’. Car désormais, ils doivent payer ! Selon Le Parisien, Magali Berdah doit vers plus 500 000 euros au fisc !

« INFO LE PARISIEN. Dans la tourmente depuis que le rappeur Booba a déclaré la guerre aux « influvoleurs », l’agente d’influenceurs Magali Berdah a été condamnée à rembourser 542 000 euros au fisc. Elle assure qu’elle réglera sa dette. »

En voyant Booba mener son combat de la sorte, l’Etat a décidé d’agir ! En effet, Bruno Le Maire a décidé d’enquêter sur les arnaques de ces influenceurs. Il promet de « donner les noms » de ceux qui ne respectaient pas la loi en faisant des pubs sur les réseaux.

« Il appartient à ces derniers comme à toute autre entreprise de respecter les dispositions du code lorsqu’ils font la promotion de produits ou services. Les injonctions les rappellent donc à l’ordre et invitent leurs abonnés à la vigilance » déclare-t-il.

Ce vendredi 2 juin, il y a déjà six influenceurs qui ont été épinglés par la DGCCRF. Illan Castronovo, Simon Castaldi, Anthony Matéo, Gaetan Debled, Léa Monchicourt. Mais aussi Capucine Anav qui est sous le choc !

En guise de punition, ils doivent donc afficher des posts rédigés par la DGCCRF sur leurs réseaux, pendant 30 jours.

Le Quotidien félicite le rappeur !

Les influvoleurs doivent donc assumer leurs actes. Alors Capucine Anav a tenu à se justifier sur les réseaux. Encore une fois, elle rappelle qu’elle est en tord. Et qu’elle accepte la décision de l’Etat. Voilà qui amuse Booba au plus haut point ! La jeune maman se confie : « Ça a été que sur un mois. Donc les fautes qu’on nous reproches c’est que sur un laps de temps de 1 mois ».

La DGCCRF lui reproche « l’intention co’ de ses publi’ à visées publicitaires« . Capucine Anav ne peut qu’admettre qu’elle est en tord. « Ils ont donc raison, c’est moi. J’ai fait une erreur. Je devais vous prévenir que cette story était un sponsor ».

Avant d’ajouter : « Je pensais bien faire en vous prévenant. Mais j’ai mal fait. Ils ont raison. C’est un nouveau métier et on savait pas comment faire ». Mais elle a aussi tenu à mettre les choses au clair pour ne pas être assimilée aux « influvoleurs » catégorisés par Booba :

 « Je ne fais pas partie des influvoleurs qui vont arriver par la suite. Dans le sens où ils ont fait des choses bien plus graves. Comme du dropshipping, de la crypto…Des choses que je n’ai jamais faites et que je ne ferai jamais ».

Le Quotidien a tenu à remercier Booba pour son travail. Grâce à lui, les influenceurs ne pourront plus commettre de dérives auprès des jeunes.

Booba s’est donc empressé de partager cette vidéo de remerciements sur son compte Twitter : « Félicitations à tous les acteurs de ce mouvement anti vide ».