Les innovations et les découvertes scientifiques ne cessent de se développer, dans le but d’assurer l’évolution de l’homme. Sachant que la potion magique pour vivre plus longtemps n’existe pas encore, des scientifiques ont peut-être trouvé une alternative. Selon eux, la paresse augmente la longévité.

Parfois il faut savoir se ménager et prendre son temps

Ce n’est pas pour rien que le proverbe “rien ne sert de courir, il faut partir à point“ existe. Cet adage, exprime de façon très concrète le fait qu’il n’est pas toujours utile de s’activer, tant que le résultat est positif.

Des scientifiques ont découvert qu’il est possible que la paresse augmente la longévité. Les recherches ont été menées par le chercheur Luke Strotz. Il travaille au sein de l’Institut de biodiversité et du Musée d’histoire naturelle de l’Université du Kansas.

Selon les études, être paresseux offre une meilleure chance de survie à certaines espèces. Des résultats qui ont même valu une publication dans le Journal of Proceedings of the Royal Society B: Biological Science.

Des constats mitigés qui nécessitent une analyse en profondeur

D’après les découvertes de Strotz, les espèces qui dépensent moins d’énergies ont de meilleures chances de survie. A contrario, ceux qui ont un taux métabolique plus élevé risquent l’extinction.

Pour ce faire, les experts ont basé leurs études notamment sur des mollusques. Mais ils espèrent étendre l’étude, sur de plus grandes espèces sujettes à disparaître pour améliorer leur existence.

D’ailleurs, Bruce Lieberman a cité dans l’UPI, qu’il s’agit de la survie de l’animal le plus léthargique et non du plus fort. À savoir qu’il est un professeur d’écologie et de biologie de l’évolution.

Ainsi, le fonctionnement de certains métabolismes joue un rôle important dans la survie d’une espèce. Mais il permettra aussi d’améliorer l’exactitude de la détermination de la probabilité d’extinction.