Pour votre bien-être physique et mental, il est normal que vous ayez besoin de temps en temps d’un jour de repos pour vous ressourcer. Une absence spontanée qui ne réjouit toutefois pas toujours votre patron. 

Heureusement, il existe une bonne technique : téléphoner au bureau pour se faire porter pâle. Vous pouvez bien évidemment lancer un petit « Allô » fébrile, accompagné d’une petite quinte de toux, mais attention à la simulation, votre patron n’est pas certainement pas né de la dernière pluie.

L’heure idéale pour prendre votre journée auprès de votre patron

Si vous voulez simuler une maladie, le meilleur moment pour le faire est le lundi, tôt le matin, une heure avant le travail.

Une enquête, menée par Fisherman’s Friend auprès de 1 000 travailleurs a révélé que 80% des employés qui appelaient pour se déclarer souffrant à l’heure du déjeuner se sentaient coupables.

Deux individus sur dix sont immédiatement retournés au bureau lorsqu’ils ont été interrogés sur leur maladie, tandis qu’un sur dix a regagné son poste l’après-midi. 39% d’entre eux ont continué leurs tâches à la maison.

Une autre enquête réalisée par la même entreprise l’année dernière, portant sur 2 000 travailleurs, a révélé que ceux-ci ne prenaient en moyenne que 1,67 jours de maladie, malgré trois cas avérés.

51% ont admis ne pas avoir pris de jour de congé en 12 mois, alors que 74% ont déclaré être allé travailler en pensant que leur état nécessitait quand même de rester à la maison.

L’hiver, la meilleure saison pour s’absenter du boulot

Pour ceux qui ne désespèrent pas de passer une journée de flemme au lit, profitez de l’hiver. Selon le site Career Builder, les absences sont en hausse de 31% en hiver. Quoi de plus normal qu’un rhume ou une grippe par ces temps de froid !

Faites toutefois attention, les employeurs deviennent de plus stricts concernant les excuses pour sécher le boulot. 70% d’entre eux ont admis avoir renvoyé immédiatement des employés menteurs, tandis que 14% se sont même rendus chez eux.

Avec ces types d’excuses, on comprend mieux :