Selon une étude récente, les personnes introverties sont douées pour le leadership. 

Charles Bukowski disait : « Le problème avec le monde, c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes tandis que les plus stupides sont pleins de confiance« .

C’est l’effet Dunning-Kruger, où quand des personnes incompétentes se croient particulièrement douées. Inversement, les individus les plus qualifiés ont tendance à se sous-estimer.

Plus simplement, on expliquera ce phénomène ainsi : les mauvais sont certains d’être bons, et les bons s’estiment mauvais.

Ce tweet en est particulièrement un bon exemple :

« Désolé les perdants et les haineux, mais mon Q.I. est l’un des plus élevé – et vous le savez tous ! S’il vous plaît, ne vous sentez pas stupides ou peu sûrs de vous, ce n’est pas de votre faute« .

La fin du mythe du leader charismatique ?

Selon une étude récente, les personnes introverties feraient de grands leaders, bien que ces grands penseurs, calmes et passifs, aient tendance à penser qu’ils s’effondreraient sous la pression.

Elle a en effet constaté qu’elles occupent moins de postes de direction que les gens extravertis, qui sont considérés comme le parfait prototype du leader, car ils sont dominants, confiants et persuasifs.

Toutefois, les recherches ont mis à jour des situations de leadership où les introvertis surpassent réellement les extravertis. On peut prendre le cas d’une équipe proactive, où ils se concentreront plutôt sur le développement et le bien-être des salariés.

L’analyse a également pu conclure que les craintes qui animent les gens introvertis sont sans fondement, et qu’ils peuvent, avec succès, avoir un « comportement extraverti ».

Si vous êtes de nature timide au bureau, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Si vous doutez encore, pensez à Bill Gates et Mark Zuckerberg !