Si vous avez ce modèle de voiture vous ne pourrez plus rouler après juillet 2024

À compter du mois de juillet 2024, certains modèles de voiture ne pourront plus circuler sur le territoire sous peine de lourdes sanctions.

En France, le parc auto se porte à merveille. Malheureusement, à compter du mois de juillet 2024, certains modèles de voiture n’auront plus leur place…

Certains modèles de voiture pourraient avoir un problème

Avez-vous déjà entendu parler de la 2G ? Malgré son âge vénérable de plus de 20 ans, elle reste cruciale en 2024 dans certains modèles de voiture.

Elle est en ce moment même, au centre de négociations impliquant Bruxelles, les opérateurs téléphoniques. Mais aussi les constructeurs automobiles.

Cette technologie se veut d’ailleurs indispensable pour le système d’appel d’urgence dans les modèles de voiture. Elle est connue sous le nom de eCall.

Rendu obligatoire depuis 2018, ce eCall pourrait tendre à disparaître. Cette suppression pourrait impacter environ 36 millions de véhicules en Europe.

Les constructeurs automobiles n’ont donc pas anticipé suffisamment tôt le passage aux normes 4G. Ce qui a laissé de nombreux nouveaux véhicules équipés de systèmes eCall uniquement compatibles avec la 2G et la 3G.

Cependant, même la 3G pourra faire l’objet d’un abandon. Cela pose donc un défi supplémentaire pour les constructeurs de voiture qui produisent certains modèles.

La Commission pour l’Europe enquête actuellement sur les implications du retrait de la 2G sur le fonctionnement de l’appel d’urgence des voitures. Cependant, la transition vers la 5G est inévitable.

Des radars anti-bruits sur les routes

Depuis peu, le gouvernement a installé de nouveaux radars sur les routes. Ces derniers se définissent comme des radars anti-bruits et ils vont envahir le territoire.

Ces dispositifs, contrairement aux radars traditionnels qui ciblent les excès de vitesse, se veulent conçus pour détecter. Et verbaliser les voitures dont le niveau sonore dépasse un certain seuil.

Le principe est le suivant. Si le bruit émis par un véhicule excède les 85 décibels, considéré comme le maximum tolérable pour éviter les nuisances sonores, le radar déclenche un flash. Et une amende est automatiquement générée.

Ces technologies ont d’abord été mises à l’épreuve à Paris et Nice, où leur efficacité a été attentivement évaluée. Les résultats de cette phase d’essai, jugée concluante, ont ouvert la voie à un déploiement plus large.

À Bron, en région Auvergne-Rhône-Alpes, le radar anti-bruit s’apprête arrive dans les prochaines semaines, pour une utilisation pleinement opérationnelle. Ce dernier promet ainsi des premières contraventions dès septembre 2024.

Des modèles de voiture interdits de circuler

Cette année marque un tournant significatif pour la sécurité routière. Avec l’introduction de nouvelles exigences, notamment l’obligation d’intégrer des caméras dans certains modèles de véhicules pour renforcer la sécurité sur les routes pendant la saison estivale.

Les autorités ont donc élargi les critères de sécurité pour inclure l’adaptation aux technologies émergentes. Et aux conditions météorologiques changeantes, en mettant en évidence l’importance de se préparer aux conditions hivernales.

Pour répondre à ces défis, les fabricants automobiles ont décidé d’introduire des technologies telles que la caméra de recul. Ces dernières améliorent considérablement la visibilité et la sécurité lors des manœuvres et du stationnement.

Une nouvelle réglementation en Europe impose donc l’installation d’un nouveau type de caméra dans les nouveaux modèles de voitures. Ce dernier vise à détecter la fatigue et la distraction des conducteurs, des facteurs essentiels pour prévenir le moindre accident.

Cette évolution de la réglementation européenne pousse un cran plus loin les systèmes de détection de la somnolence. Ces derniers se veulent aussi appelés DMS, pour Driver Monitoring System. Ces derniers sont déjà présents dans certains véhicules depuis deux ans.