snobisme

Fuis-moi, je te suis, suis-moi, je te fuis. Voilà un adage qui semble fonctionner également dans la vie professionnelle. C’est en tout cas ce qu’affirme la coach, consultante et auteur, Pascale Baumeister.

Pour réussir dans la vie professionnelle, chacun sa technique. Toutefois, obéir sagement aux ordres, se montrer toujours disponible et avenant n’est peut être pas toujours la solution à la progression sociale. Vous vous ferez aimer, mais, sans nul doute aussi, marcher sur les pieds. Être le chouchou du patron ne rime donc pas avec avancée sociale et professionnelle.

Il s’agit donc de trouver une solution à ce problème d’évolution. Selon Pascale Baumeister, le meilleur moyen reste le snobisme. S’il ne fait pas tout, il vous permettra au moins de donner le change. Fini donc les petites attentions à vos collègues de travail et place à un nouveau vous, plus compétitif. Pour montrer le changement, soyez plus détaché.

snobisme

Il convient également de ne pas trop se livrer. Être snob c’est aussi garder une part de mystère. Un patron ne se confie que rarement à ses employés, il sépare vie privée et professionnelle. Imitez-le, peut-être que vos collègues de travail vous assimileront à un futur leader. En tous les cas, cela vaut le coup d’essayer et surtout, en parlant peu, vous n’attirerez pas les confidences. Un bon moyen d’avoir la paix.

Gare toutefois à ne pas confondre snobisme et dédain. Si être snob et dédaigneux à la foi vous permettra d’être crainte, cela pourrait également se retourner contre vous à l’avenir. Il faut également faire attention explique l’interview de cette coach. Cette stratégie privilégie la carrière au relationnel mais ne fait pas tout. Elle nous vous fera pas gravir les échelons sans un travail acharné derrière. Pire encore, elle pourrait vous nuire si vous postulez dans des sociétés modernes basées sur la coopération et l’échange.

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