Même lorsque l’on devient adulte, les histoires magiques et féeriques de Disney auront toujours un joyeux effet sur nous. Cependant, les vrais héros sont les méchants de Disney d’après une actrice.

Une observation qui laisse à réfléchir

Les dessins animés Disney sont remplis de personnages très attachants. Mais, certains d’entre eux sont lésés à cause de leurs caractères.

La plupart du temps, les leçons à retenir de ces animations sont que les gentils gagnent toujours. Tandis que les méchants sont toujours vaincus à parce qu’ils sont vils et acerbes.

Selon l’actrice Zelda Williams, la diabolisation des vilains est un peu injuste. Surtout, que cette diabolisation est basée sur une perception de la bienséance de la société moderne.

Pour expliquer un peu plus son avis, l’actrice a publié une série de tweets. Dans ces derniers, la jeune femme met en avant les aspects positifs des méchants. Une analyse qui pousse à voir ces personnages d’une autre façon.

Une analyse basée sur des réalités

Pour commencer elle a pris pour exemple le personnage d’Ursula dans la petite sirène. Il faut savoir qu’à la base Ursula, est un personnage qui s’inspire de la légende de la traînée Divine.

C’est une « dame magique talentueuse et travailleuse ». Tandis qu’Ariel est comparée à une petite fille riche et snob. Force est de constater qu’Ursula est juste mal vue. Tout cela, parce qu’elle ne correspond juste pas aux normes particulières en matière de beauté ou d’âge.

Ensuite, Zelda Williams étudie le personnage de Scar, dans Roi Lion. Selon elle, ce dessin animé se base tout d’abord sur une bataille imprégnée des thèmes de la monarchie.

L’actrice perçoit donc Scar comme étant le radical de gauche. Il est celui qui renverse la monarchie et permet de créer une nouvelle démocratie. En somme Scar, apporte la justice au règne animal.

Au final, les méchants sont ceux qui apportent des réformes. Cependant, leurs personnages sont plus intéressants et charismatiques que leurs contemporains « bons gars » de la réalité. Par ailleurs, le comportement des Princes Disney est aussi passé à la loupe.

Voilà donc une nouvelle perception des méchants, qui change les critiques sur les personnages malfaisants.

Ariel est une snob ennuyée qui chante littéralement sur le fait d’avoir tout, mais ce n’est pas tout. Elle sauve la vie d’un homme, qu’elle avait traqué et décide de le revoir. Mais pour cela, elle aura besoin de magie, alors qui l’appelle ? (Puisqu’il ne se souvient même pas à quoi ressemble le pince)

 

Ursula l’aide en dépit du fait qu’Ariel et sa famille royale guindée l’exilent avec ses potes d’anguille dans une grotte. Elle ne rend même pas la tâche difficile. Genre, bonjour, Ariel sait écrire ! Elle a signé son nom ! Elle n’a pas eu à jouer les analphabètes aussi bien que les muets ! Sans parler de..

 

Petit récapitulatif de la petite sirène: les chaudes nanas snobinardes et riches obtiennent toujours ce qu’elles veulent, tandis que les femmes magiques talentueuses qui ne correspondent pas à des normes particulières (stupides) de beauté ou d’âge seront souvent injustement maltraitées et évitées par certaines sociétés. Ursula était un sacré bout de femme. En avant! 

 

C’est Simba, un autre snobinard royal qui se fait dire dès son plus jeune âge qu’il possède la planète entière (ce qui n’est pas irréaliste… pas du tout…). Il commence immédiatement à ennuyer son oncle Scar, et d’ailleurs, qui ne serait pas fâché contre un monde qui vous a surnommé d’après une cicatrice ?!