La véritable identité de « Jack the Ripper » – le tueur en série qui a brutalement assassiné ses victimes à la fin du 19ème siècle – a finalement été révélée, affirment les scientifiques.

L’identité du meurtrier a demeuré un mystère durant de longues années. Mais les chercheurs pensent désormais avoir découvert de nouvelles preuves, qui révèlent enfin qui est vraiment l’Éventreur. Ils ont effectué des tests génétiques sur l’ADN trouvé sur un châle recouvert de sang, qui aurait appartenu au meurtrier. Et ils pensent avoir trouvé une correspondance.

Selon les recherches effectuées, le châle est lié au double meurtre des victimes Elizabeth Stride et Catherine Eddowes. Il aurait également contenu l’ADN d’Eddowes et du meurtrier. Aaron Kosminski, âgé de 23 ans au moment des faits, a été « confirmé » comme étant le coupable de ces meurtres. Cette identification a été possible après que des fragments d’ADN mitochondrial aient été extraits du châle et comparés à ceux prélevés sur les descendants vivants connus de Kosminski.

D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que Kominski est impliqué dans ces meurtres notoires. Il a été identifié comme étant le principal suspect en 1888, mais les enquêteurs n’avaient pas suffisamment de preuves contre lui.

Les nouveaux tests ADN corroborent également avec les rapports des témoins oculaires selon lesquels Jack l’Éventreur – qui aurait tué cinq femmes dans la région de Whitechapel à Londres en 1888 – avait les cheveux bruns et les yeux bruns.

Les chercheurs expliquent que leur nouvelle étude fournit l’analyse génétique la plus systématique et la plus avancée à ce jour, en ce qui concerne les meurtres de 1888. Qui aurait cru que plus d’un siècle après les meurtres, l’identité du mystérieux Jack l’Éventreur aurait finalement été révélée par un châle ?