
Bison Futé est un indicateur de choix pour prévoir ses trajets. Avec le pont du 8 mai, la vigilance est donc de mise sur les routes.
Créé en 1976, Bison Futé est devenu un véritable repère pour les automobilistes français. Son objectif ? Fluidifier la circulation, éviter les bouchons et prévenir les comportements à risque, notamment lors des grands départs en vacances et les ponts du mois de mai.
Bison futé : un allié de vos vacances
Derrière sa mascotte devenue iconique, se cache un service public d’information routière redoutablement efficace. Le premier atout de Bison Futé, c’est l’anticipation. Grâce à ses cartes de prévisions classées par couleur (vert, orange, rouge ou noir), il permet aux conducteurs de planifier leurs déplacements.
Et ce, en évitant les périodes de forte affluence. Ces prévisions sont établies en croisant des données de trafic passées, les calendriers scolaires, les événements locaux et la météo.
En un coup d’œil, on peut savoir si un jour est à éviter sur la route. Autre avantage, l’information en temps réel. Sur son site, son application ou via les radios autoroutières, Bison Futé informe des bouchons, travaux, accidents. Ou conditions météo qui peuvent perturber le trajet.
Il est donc une aide précieuse pour adapter son itinéraire ou prévenir les imprévus. En été comme en hiver, il devient un copilote fiable et il joue aussi un rôle dans la sécurité routière.
En incitant à partir aux bons horaires et à éviter les zones saturées, il contribue à réduire le stress au volant. Et les risques d’accidents. Une circulation plus fluide, c’est aussi moins de fatigue et une conduite plus sereine.
Enfin, Bison Futé participe à une meilleure gestion collective du trafic. En influençant les comportements individuels, il aide à répartir les flux de véhicules, notamment lors des week-ends de chassé-croisé.
Des déplacements mieux anticipés
Le traditionnel pont du 8 mai s’annonce chargé sur les routes françaises, malgré une météo plus maussade que celle du 1er mai. Bison Futé tire la sonnette d’alarme : la circulation s’annonce « très difficile » dès le mercredi 7 mai dans le sens des départs, avec un trafic encore perturbé le jeudi 8 mai, classé orange.
Les retours, prévus pour le dimanche 11 mai, seront eux aussi particulièrement compliqués, surtout sur les grands axes du sud et vers l’Île-de-France. Avec une vigilance rouge établie par le centre national d’information routière.
Dès mercredi, les automobilistes devront s’armer de patience, surtout sur l’A7 entre Lyon et Orange, un axe régulièrement saturé lors des grands départs. De nombreux autres itinéraires devraient être touchés par des embouteillages persistants.
En direction du nord-ouest sur l’A13, vers la façade atlantique sur l’A10 et l’A11. Ou encore en Méditerranée sur l’A8 et l’A9. En Île-de-France, le trafic s’alourdira dès le milieu d’après-midi, en particulier sur les autoroutes A10 et A13.
Le jeudi 8 mai, jour férié de commémoration de l’Armistice de 1945, s’annonce un peu plus fluide, mais les perturbations resteront notables. L’A13, l’A11, ainsi que l’A7 dans la vallée du Rhône devraient rester sous tension, tout comme l’accès au tunnel du Mont-Blanc.
Prévoir les bouchons grâce à Bison Futé
Pour le retour, prévu le dimanche 11 mai, la situation risque de se tendre fortement. Les axes du sud-est comme l’A7, l’A8, l’A9 et l’A61, ainsi que ceux longeant l’Atlantique comme l’A63. Ou la RN165, seront très fréquentés.
Les flux rejoignant la région parisienne via l’A13 et l’A11 seront aussi très denses. Les bouchons pourraient débuter dès la fin de matinée sur les autoroutes A6 et A10 en Île-de-France. Et se prolonger jusqu’à la soirée.
Bison Futé recommande donc d’anticiper les départs et les retours. Quitter ou traverser l’Île-de-France avant 14h le mercredi 7 mai et avant 11h le dimanche 11 mai permettrait d’éviter les pires ralentissements.
Le choix des horaires et des itinéraires alternatifs sera donc crucial pour échapper aux bouchons de ce long week-end. Cette année encore, des millions de Français vont donc lui faire confiance.