Le talent artistique des artistes est parfois difficile à appréhender surtout quand il s’agit d’œuvres contemporaines. C’est probablement pour cette raison, que dans sa concentration, un homme chute dans la fosse d’Anish Kapoor. Une histoire insolite.

Une confrontation avec l’art contemporain

Comme tout bon touriste qui se respecte, il est de rigueur de visiter un musée pour s’imprégner d’une culture. Un touriste italien a alors profité de l’exposition de la Fundação de Serralves pour admirer les œuvres d’Anish Kapoor.

Ce dernier est un artiste britannique, célèbre pour son œuvre baptisé “Descent Into Limbo“ datant de 1992. Il s’agit en fait d’un trou de 2m de profondeur recouvert d’une peinture absorbant la lumière.

Le trou est situé à l’intérieur d’un cube de béton de 6 m. Ce qui donne une hypnotique impression de vide total. L’exposition se déroulait dans un musée d’art portugais.

C’est là que le malheureux touriste est tombé dans la fosse d’Anish Kapoor. Les circonstances de sa chute restent encore mystérieuses, mais elle a entraîné son hospitalisation.

À savoir que les trous noirs de Kapoor sont sujets à controverse, en particulier en ce qui concerne ses droits exclusifs de faire de l’art avec Vantablack. Un matériau connu comme étant actuellement la substance la plus noire.

En raison de cet incident, le musée est momentanément fermé au public. En effet, il réfléchit à une manière de sécuriser le périmètre autour du trou. D’autant plus que la chute du sexagénaire est incompréhensible étant donné les divers panneaux de signalisation.

Une série d’accidents absurdes au nom de l’art

Cette mésaventure n’est pas la première en date en rapport avec l’art et n’est certainement pas la dernière. En 2014, un étudiant en échange en Allemagne s’est retrouvé coincé dans le vagin d’une sculpture en pierre suite à un défi.

En 2015, un garçon trébuche et frappe accidentellement un tableau d’une valeur de 1.5 million $. En 2016, une femme remplit un mot croisé qui faisait partie d’une œuvre d’art de 89 000 $.

Mais l’anecdote la plus drôle est sûrement celle d’une femme qui se prend 200 000 $ en dommages-intérêts à cause d’une selfie.

Ainsi, les œuvres contemporaines peuvent parfois se révéler dangereuses.